tumblr ; FEAT ANNA PAQUIN
LIV - 17 ANS - *bave trop pour parler*

NOM, PRÉNOM VAN DER BRÜCK MAYA TALITHA. ÂGE & BDAY 31 ANS, LE 28 MARS . PROFESSION PHARMACIENNE. STATUT CIVIL EN COUPLE. GROUPE MALABAR.

THIS IS THE STORY OF MYSELF

LA VERITE ? MAIS JE VIENS DE VOUS LA DIRE LA VERITE. ET CA FAIT MAL. ELLE TACHE, ELLE ECLABOUSSE LA VERITE. « Un cuniculiculteur. » Maya était allongée sur son lit, la tête sur le torse de son meilleur ami. Cela faisait un petit moment qu’ils avaient arrêtés de parler pour seulement profiter l’un de l’autre. Effectivement, il venait juste de rentrer d’un long voyage en France et ils venaient juste de se retrouver. Il s’arrêta tout d’un coup de caresser ses longs cheveux blonds mais se redressa pour qu’elle puisse discerner le haut de son front sans bouger. « Quoi ? » Elle explosa de rire avant de se relever à son tour pour le regarder dans les yeux. « J’ai dit c u n i c u l i c u l t e u r » Elle essaya de garder son sérieux et aucune expression ne vint déranger son apparente sérénité. Lui par contre ne comprenait pas vraiment ce qu’il se passait en fronça les sourcils. Au moment où Maya aperçu la lueur de génie dans les yeux de son ami, elle comprit qu’il n’avait absolument rien pigé et que dans quelques secondes il allait faire quelque chose de totalement inconsidéré. Et effectivement, il attrapa la petite tête blonde de sa meilleure amie et rapprocha leurs visages pour qu’ils puissent être assez près pour un quelconque baiser. « Est-ce que cela à un quelconque rapport avec quelque chose de sexuel. Parce que dans ce cas je veux Bee. J’ai tellement envie de toi si tu savais qu’est ce que ça me ronge de l’intérieur. Tu es devenue carrément magnifique et je veux dire, tu es drôle et tellement cultivée. Tu es devenu mon fantasme personnel Bee. Je ne rêve que de toi. »

Il y a certains moments où on aimerait pouvoir faire pause et réfléchir tranquillement à la situation sans se presser. Ce n’était pourtant pas compliqué, ce qu’il venait de dire était digne d’un film parfaitement pathétique avec une fin heureuse comprenant une ribambelle d’enfants. Seulement Maya, ou Bee comme l'appellait son meilleur ami depuis déjà un petit moment n’était pas la fille parfaite pour ce film ; elle n’aurait même pas du figurer à l’affiche, n’aurait même pas eu droit à un quelconque remerciement écrit en tout petit car sa réplique n’aurait pas vraiment était la chose qu’on attendait d’elle. « En réalité je faisais référence à ton voyage en France où tu as du rencontrer des tas de personnes qui sont encore paysans ou quelque chose comme ça et un cuniculiculteur n’a absolument rien de sexuel puisque c’est un éleveur de lapins. » Elle esquissa un léger sourire et le laissa se détacher d’elle pour masquer sa gêne. Elle se rallongea sur son lit et attendit que cela lui passe. « Dis quelque chose Maya » Elle en était arrivée à compter les lattes au plafond et sorti de sa transe de lassitude pour répondre à ses attentes. « J’ai embrassé mon frère l’autre jour. Enfin je veux dire … Ce n’était pas un baiser venu de nulle part. Il y avait juste ce gars qui ne faisait que me tourner autour en boite et il paraissait vraiment louche alors j’ai demandé à Luka de m’embrasser pour qu’il me laisse tranquille. Et il l’a fait. Et … Tu sais, je t’avais dit par e mail que ce n’était pas vraiment mon frère biologique mais … Ce baiser … C’était comme une évidence. Comme si j’avais enfin trouvé ce qu’il me manquait depuis toutes ses années, comme si j’avais enfin trouvé ma maison, mon prince. » Elle s’était redressé soudain pleine de vie. Elle s’était mise à argumenter à grands renforts de mouvements de main et de hochements de tête. « Il m’avait emmené contre ce mur et là, tout contre lui j’avais l’impression que mon corps allait flamber sous ses caresses, sous ses baisers. C’était extraordinaire. Parce que tu sais, il y a toujours eu ce truc entre nous. Luka et moi, ça a toujours était fusionnel, trop sans doute mais … Je ne sais pas. Ce baiser … C’était vraiment l’apogée de notre relation jusqu’à présent. Et dans ses bras, j’ai enfin eu l’impression d’avoir trouvé ma place. Comme si depuis tout ce temps, elle ne faisait qu’attendre que l’on se jette à l’eau. » Maya était euphorique rien qu’a repenser à cette fameuse soirée mais au dessus d’elle flottait le mot inceste en lettre dorée. Et vu comment Bart la regardait, elle vérifia quand même en levant la tête que ce n’était pas le cas. « Dis quelque chose Bart. » « Tu l’aimes ? » « Je ne sais pas. Enfin oui je l’aime c’est certain, je l’ai toujours aimé mais je me rends compte que c’est surement plus que ça. Que si je ne trouve aucune de ses petites amies à mon goût c’est parce que je suis simplement jalouse. J’y pense tout le temps et je crois que c’est en train de me tuer. Enfin c’est vrai après tout l’inceste, ce n’est qu’un mot. Qui a décidé que c’était mal de coucher avec son frère ou sa sœur ? Après tout on se connait mieux que personne. Il pourrait être mon prince charmant. » « Je pourrais être ton prince charmant aussi Maya. » Il s’était à moitié allongé sur elle dans une position qui aurait pu paraitre équivoque pour n’importe qui mais pas pour elle. « Arrête Bart, t’es mon meilleur ami. On se connait depuis toujours. » « Ton frère aussi tu le connais depuis toujours et pourtant, tu as eu cette … étincelle ou quoi que cela puisse être. Je veux que tu trouves ce truc avec moi aussi. Alors embrasse-moi. » Quand il plongea son regard azur dans le sien, Maya comprit qu’il était sérieux. Elle sentit une vague de panique accélérer son cœur et rendre ses mains moites. Pour la première fois depuis l’histoire de l’humanité, elle ne savait pas quoi dire. Elle paniquait intérieurement tandis qu’il se rapprochait millimètre par millimètres de son visage. Mais sauvé par le gong, ou plutôt par son père rentrait plus tôt que prévu, elle s’esquiva et se releva prestement avant de déposer un baiser rapide sur la joue de son meilleur ami. « Je dois y aller. On se voit plus tard Bart. » Alors qu’elle n’avait jamais vraiment eu de rapports vraiment très amicaux avec son père, elle aurait sauté sur n’importe quel prétexte pour échapper à cette situation.

PLEASE DON'T LEAVE ME WITH HIM! WHY ? GIVE ME A REASON AND I'M CHUCK BASS DOESN'T COUNT ! BECAUSE YOU DON'T WANT TO ! THAT'S NOT ENOUGH ! WHAT ELSE IS THERE ? THE TRUE REASON ! THREE XORDS , EIGHT LETTERS SAY IT AND I'M YOURS ! I ... I ... THANK YOU ! THAT'S ALL I NEEDED TO HEAR ... Maya se tenait devant le seuil de ce qui était sa maison depuis déjà vingt ans. Vingt longues et belles années où elle n’avait pas pensé une seule fois partir, elle était bien chez elle, dans son petit cocon familial. Elle avait eu droit à une famille aimante, sa seconde chance, sa famille d’adoption. Elle avait tellement de souvenir à l’intérieur de cette demeure et avait l’impression qu’en la regardant, sachant qu’elle allait partir, tout lui revenait en mémoire. Cette fois où elle avait mis des bonbons dans son nez lorsqu’elle était plus jeune, juste pour voir si cela pouvait passer par ce trou là aussi. Sa première soirée clandestine, faite durant un week-end de thalassothérapie de leurs parents qui avait tournait en orgie totale. La première fois, sa toute première fois, dans son lit. La gouttière qui courrait le long de mur et qui lui avait permis de nombreuses fois de faire le mur et de rejoindre ses amis à des soirées quelconques. Elle pouvait apercevoir les rideaux de sa chambre qu’elle avait tirée avant de la quitter. Le visage de son frère apparu derrière sa fenêtre et elle détourna immédiatement la tête. Elle ne voulait pas qu’il puisse la voir dans cet état, elle savait que des larmes silencieuses courraient le long de ses joues. Elle attrapa la poignée de sa valise au sol et la souleva avant de se mettre en route. Elle avait dit au revoir à toute sa famille et pouvait partir en paix étudier à Amsterdam, découvrir la ville, oublier la campagne. Elle avait déjà déménagé toute ses affaires dans son nouvel appartement et ne restait plus que cette valise, et sa propre personne. Elle n’avait pas fait cent mètre en direction de l’arrêt de bus qu’elle entendit son frère courir derrière elle. « MAYA, MAYA ATTENDS ! » Elle ne se retourna pas et continua de marcher la tête haute, accélérant légèrement son allure. Bien évidemment, il n’était pas lesté du poids d’une valise et la rattrapa aisément. Il posa la main sur son épaule et la força à s’arrêter en appuyant volontairement dessus. Elle stoppa net et laissa choir sa valise au sol, sans pour autant le regarder. « Maya laisse moi t’amener à l’aéroport, s’il te plait, c’est ridicule. » Elle sentait la colère poindre le bout de son nez en elle mais s’exhorta au calme. Respirant profondément, elle se tourna vers lui pour lui répondre. « Le bus me va très bien. » Il lui fit sa tête de chien battu, elle lui servit sa tête de femme décidée, il finit par lui céder. « Laisse moi au moins porter ta valise en ce cas, jusqu’à l’arrêt. » Elle avait du mal à comprendre pourquoi il agissait ainsi et récupéra sa valise en continuant son chemin. C’était pour lui qu’elle partait, qu’elle quittait ce monde, son monde pour partir vers l’inconnu. Parce qu’il n’avait pas voulu d’elle, parce qu’il avait trop peur de décevoir ses parents en leur avouant qu’il aimait celle qu’il prenait pour sa sœur. Elle, ne pouvait plus rester sous le même toit que lui en sachant qu’il l’aimait, qu’elle l’aimait, mais qu’il ne voulait pas en entendre parler. C’était trop difficile, trop douloureux. Une séparation était nécessaire, elle le savait, même si au fond d’elle-même, elle aurait aimé qu’il la retienne, qu’il lui promette de l’aimer comme personne ne l’avait jamais aimé. Mais il ne fit rien de cela et resta au milieu de la rue. Elle ne se retourna pas une seule fois de peur de craquer. Elle partait, laissait son passé derrière elle et partait en quête d’un futur viable.

JE SUIS VENU TE VOIR, PARCE QUE QUAND ON RÉALISE QU'ON VEUT PASSER LE RESTE DE SA VIE AVEC QUELQU'UN, ON VEUT QUE LE RESTE DE SA VIE COMMENCE LE PLUS TÔT POSSIBLE. Maya lança un énième regard à l’horloge au dessus de la porte et étrangement, elle n’avait avancée que de quelques minutes depuis son dernier coup d’œil. C’était une des pires journées de travail qu’elle n’avait jamais eu. Elle n’aimait pas le jour de son anniversaire, elle était obligée de faire comme si c’était un jour vraiment gai, comme si elle était contente d’avoir un an de plus. Mais elle, tout ce qu’elle voyait, c’est qu’elle vieillissait à vue d’œil, et que son frère n’était toujours pas là. Cela faisait désormais onze ans qu’ils ne s’étaient pas vus. Et elle avait beau assurer le contraire, il lui manquait beaucoup. Mais elle essayait de faire bonne figure et de ne rien montrer de sa lassitude devant les clients. Car bien évidemment, la pharmacie ne désemplissait pas, c’était bien le jour pour venir l’embêter ! Elle s’accorda une pause en voyant six heure arrivé et rejoignit l’arrière boutique pour s’assoir sur un carton vide. Son portable dans son jean, elle le sortit pour écrire un sms à Félix, elle savait que lui seul arriverait à lui remonter le moral, il avait l’art de toujours la mettre de bonne humeur. Elle avait prévu de passer la soirée avec lui mais elle aurait aimé pouvoir se blottir contre son torse et tout oublier, juste être avec lui, cela lui suffisait amplement. Surtout qu’ils sortiraient surement, finiraient par rire de tout et n’importe quoi, comme d’habitude. Alors qu’elle était en train de taper son message, Vanya, sa collègue préférée arriva paniquer dans l’arrière boutique et l’obligea à venir immédiatement. Sans savoir ce qu’il se passait, Maya rangea son portable au fond de sa poche à regret et se dépêcha de revenir dans la boutique. Là, un énorme gâteau et tous ses collègues s’étaient rassemblés et commencèrent à lui chanter cette fameuse chanson qui a le don de vous mettre mal à l’aise dès les premières notes. Comme elle était du genre à s’empourprer, être au centre de l’attention la rendit toute rouge, elle arrivait à le sentir. Mais elle était surtout touchée de l’attention qu’ils avaient eue. Elle fit un vœu et souffla ses trente et une bougies d’un coup. Ils applaudirent, même les clients présents et elle ne pu s’empêcher de sourire, peut-être que cette journée ne serait pas si mal au final. Et c’est dans un tout autre état d’esprit qu’elle reprit le travail.

Juste avant la fermeture, alors que tous ses collègues étaient partis et qu’elle rangeait les jouets des enfants à leur place, la sonnette de la porte retentit. Elle se redressa un chien en plastique à la main « Désolée nous sommes fermés mais vous pouvez revenir de… » Elle s’était retournée en plein milieu de sa phrase et observait le retardataire. Devant sa surprise, Maya laissa tomber le canard au sol et resta bouche bée. L’homme s’avança vers elle et ramassa le canidé tout en lui tendant. Elle n’esquissa pas le moindre geste pour le récupérer, semblait avoir perdu l’usage de ses muscles. « Joyeux anniversaire Maya. » Il s’approcha un peu plus et déposa un chaste baiser sur sa joue. Maya se rendit compte qu’elle avait arrêté de respirer lorsque son cœur s’emballa à nouveau. « J’ai enfin comprit Maya, enfin. Je t’aime. Tu vois, je peux le dire, parce que tu es la seule personne qui me comprend, la seule qui fait battre mon cœur. » Il attrapa sa main et la posa sur sa poitrine, juste sur son cœur. « Tu sens comme il s’emballe, cela fait onze ans qu’il n’avait pas battu aussi fort. Je t’aime, et je n’ai plus honte aujourd’hui. » Maya sentit une larme couler le long de sa joue et elle reprit vivement sa main pour l’essuyer. C’était ridicule, il n’avait pas donné signe de vie depuis tellement de temps, il l’avait repoussé, l’avait obligé à partir de chez elle et il revenait comme si rien ne s’était passé, tout sourire. Elle ne sentit pas sa main partir, ne se rendit compte de ce qu’elle avait fait que lorsqu’elle claqua sur sa joue. Il n’avait pas le droit d’être là, de chambouler sa vie à nouveau. Elle n’était pas à sa disponibilité, elle n’avait pas arrêté de vivre pendant ces onze années, et elle était avec une personne formidable qu’elle aimait plus que tout. Il la regarda encore quelques secondes avant de tourner les talons et de s’en aller. Sa première pensée fut pour le chien qu’il avait emmené. Sa deuxième pour cette phrase qu’il lui avait murmuré avant de la quitter. « Tu es à moi Maya, tu l’as toujours été. » Il avait tord, elle n’était pas à lui, plus maintenant.

Bienvenue à toi =)
Personnellement, je dirais Autumn Reeser ^^

Ah mince, dire que j'avais enfin choisi Anna ... M'enfin. Merci à tous

Keane jette une malédiction sur tous les avatars de ses scénar' je crois.
Sinon bienvenue, et j'aurais dit Maggie .
je retourne de ce pas à ma fiche.

J'ai vu oui. Ca devient flippant.
j'y cours j'y vole. Avec tout plein de pression que tu me mets xd

Bienvenue chez les fous \o/

Bienvenue.

ANNA.

Je te la réserve

AAN oui Keane tu m'as fait trop trop peur Merci encore =D
Merci Elyxir
Et je pense avoir terminée ma fiche

Et bien niquel, tu peux aller jouer
Bon jeu

Merci